Les solutions contre les blattes et cafards
Les solutions contre les blattes et cafards
Nous éprouvons, dans notre grande majorité, une grande répulsion et un véritable dégoût à l’égard des blattes et des cafards. Leur aspect y est, bien entendu, pour quelque chose, tout comme cette façon qu’ils ont de traîner sur la nourriture (en l’infectant au passage), de se faufiler dans les endroits sombres et de disséminer les agents pathogènes qu’ils transportent un peu partout où ils circulent.
Ce sont là autant de bonnes raisons de s’en débarrasser, mais ce n’est pas si évident, car ces insectes sont particulièrement nombreux et résistants.
Voyons ensemble les caractéristiques de ces blattoptères, leur comportement et les différentes solutions qui permettent d’en venir à bout.
Les cafards et blattes, des populations qui augmentent rapidement !
Comme les termites, les blattes et les cafards (deux appellations qui désignent le même insecte, également appelé cancrelat) font partie de l’ordre Blattodea (blattoptères).
Ils ont un mode de vie qualifié de synanthrope, ce qui signifie qu’ils vivent à proximité de l’homme. C’est en effet des les habitations et toutes sortes de structures de vie et d’activité humaines qu’ils trouvent l’environnement propice à leur développement.
Chez la plupart des espèces de blattes et cafards, les femelles peuvent porter entre 12 et 25 œufs par oothèque (membrane protégeant la ponte). La blatte germanique, celle que nous rencontrons le plus souvent, est capable de pondre entre 3 et 6 oothèques contenant chacune 50 œufs.
D’extraordinaires capacités de résistance et d’adaptation
En plus de se démultiplier assez vite, les blattes et cafards jouissent de formidables capacités d’adaptation et de résistance.
Au fil des générations, ces insectes adaptent leurs organismes aux divers agents insecticides censés les combattre.
Il faut également savoir qu’ils peuvent survivre à des niveaux de radiations mortelles pour l’homme. On estime, en effet, que la dose létale de radiation pouvant tuer les cafards est quinze fois plus élevée que celle qui provoque la mort chez l’être humain.
Ajoutez à cela cette capacité qu’ils ont de demeurer actifs pendant plus d’un mois sans se nourrir et de se contenter de ressources alimentaires minimes pour survivre, et vous comprendrez pourquoi ils sont si difficiles à éliminer.
Un insecte nuisible à plus d’un titre
Il existe plus de 4000 espèces de blattes et cafards. Parmi elles, quatre sont considérées comme nuisibles.
Celle que l’on rencontre en plus en France est la blatte germanique (Blattella germanica). De couleur brune, elle affectionne les recoins obscurs, chauds et humides de nos maisons.
Elle est suivie de près par la blatte orientale (Blatta orientalis), qui recherche davantage les environnements frais (caves, parkings, réserves…).
La blatte américaine (Periplaneta americana) et la blatte à bande brune (Supella longipalpa) complètent la liste restreinte des principales espèces de cafards nuisibles.
Elles sont omnivores et se nourrissent donc de toute forme d’aliment se présentant à elles durant leurs sorties essentiellement nocturnes, d’où la nécessité de protéger les denrées en les emballant, en les disposant dans des boîtes hermétiques et en les gardant dans des placards sains et fermés.
Attirés par les phéromones qu’elles émettent (notamment les femelles), les blattes se regroupent en grands nombres, ce qui accélère leur développement et accroît leurs actions néfastes sur l’habitat.
Ces insectes sont fortement impliqués dans la transmission d’agents pathogènes (bactéries et germes), qu’ils transportent sur leur cuticule et dans leur système digestif. Ils infectent donc leurs lieux de passage et les aliments aussi bien par simple contact que par l’intermédiaire de leurs déjections.
Gastroentérites, diarrhées et différentes infections intestinales peuvent être provoquées si l’on consomme des aliments contaminés par les cafards. Ces derniers sont également susceptibles d’occasionner des infections et des allergies aux manifestations cutanées ou respiratoires, pouvant parfois nécessiter des soins médicaux.
Les solutions contre les blattes et cafards
Si l’on aperçoit un cafard chez soi ou dans son lieu de travail, il y a fort à penser que plusieurs de ses congénères se trouvent dans les parages et qu’il faille donc agir au plus vite pour les éliminer.
Une hygiène régulière est la première des parades anti cafards et blattes. Les moindres résidus d’aliments et cadavres d’insectes, soit autant de « friandises » potentielles pour ces nuisibles, sont à évacuer.
Conjointement, un traitement efficace à base d’insecticide doit être appliqué, idéalement par le moyen d’un vaporisateur qui permet d’intervenir les endroits les plus sombres et inaccessibles : recoins des placards, locaux à poubelles, derrières les différents appareils, le long des canalisations et conduits, sous les meubles, etc.
Technocid propose tout d’abord une solution spécifique, l’Insecticide Cafards et Blattes, qui s’applique directement sur les insectes et leurs lieux de passage (sols, plinthes, murs, mobilier, etc.). Il offre une efficacité optimale en une quinzaine de minutes, tout en étant sans danger pour l’homme.
Un autre produit Technocid, aux applications plus larges, peut également être utilisé efficacement contres ces nuisibles. Il s’agit du spray Insecticides Rampants qui agit aussi bien sur les blattes et cafards que sur les autres types d’insectes rampants, comme les fourmis, araignées et termites.
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